Aménagements
Après 20 mois de travaux, les nouveaux aménagements de l’échangeur de Cadarache, dans les Bouches-du-Rhône, sont ouverts à la circulation sur l’autoroute A51. Ils permettront une meilleure desserte de Saint-Paul-lez-Durance, mais aussi des sites du CEA et d’ITER.
Sur l’autoroute A51, les nouveaux aménagements de la bretelle de Cadarache (n°17) sont ouverts à la circulation depuis le mardi 23 juillet. Très attendus par les nombreux usagers empruntant quotidiennement ce secteur (12.000 véhicules jour), ils permettront une meilleure desserte des sites du CEA et d’ITER, mais aussi des communes de Vinon-sur Verdon, Gréoux-les-Bains et Saint-Paul-lez-Durance.
Ces aménagements ont consisté à :
Une forte affluence était observée dans ce secteur, aux heures de pointe, perturbant régulièrement la circulation. Des files d’attente se formaient dans les bretelles de sortie de l’autoroute A51, dans les deux sens, ainsi que sur la RD 952. Des congestions ayant pour conséquence un allongement des temps de trajet et une dégradation des conditions de circulation. La mise en service de ces aménagements apportera de la fluidité et de la sécurité pour les milliers d’usagers appelés à se déplacer au cœur de la Vallée de la Durance.
Très attendue, l’amélioration de l’échangeur de Cadarache est le fruit de l’engagement sans faille de plusieurs acteurs : la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Département des Bouches-du-Rhône, l’État et VINCI Autoroutes, qui se sont mobilisés, ensemble, pour apporter une réponse concrète aux besoins croissants de mobilité sur ce territoire dynamique.
Co-financé par VINCI Autoroutes, la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Département des Bouches-du-Rhône, l’aménagement de l’échangeur de Cadarache s’inscrit également dans une démarche environnementale précise. VINCI Autoroutes s’engage et agit pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de ses chantiers et limiter au maximum les impacts environnementaux des infrastructures. Sur ce chantier, une réduction de 38% des émissions, soit 1 284 tonnes de CO² de gains carbone a été réalisée. Les mesures compensatoires ont principalement été menées dans la forêt communale de Grambois, comme la création de gîtes à lézard ou encore d’une mare à amphibiens. Enfin sur le volet de l’insertion, des travailleurs en recherche active ou en réinsertion ont pu bénéficier d’un parcours d’inclusion professionnelle. 11 emplois ont ainsi été créés et 2 personnes ont été embauchées en CDI.
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